Pourquoi E.M est en échec !!!
Pourquoi E.Macron est en échec et risque le mat !!!
Parce que les réformes ne changent pas de perspectives et n'impactent pas assez le quoitidien des Citoyens.
Il n'a pas su, voulu et fait assez d'actions en direction de la société civile. Dit autrement il n'a pas mis en mouvement notre société pour changer de paradigme. L'entre-soi et les vieilles pratiques d'un pouvoir monolitique ne permettent pas que les citoyens soient impliqués donc concernés par tous les changements qu'il faudrait faire pour REFORMER la France. Il est difficile de faire du neuf avec du vieux ?
Nous avons besoin de grandes perspectives et "en même temps" de solutions pragmatiques adaptées aux cas particuliers et "en même temps" d'un peu plus déthique.
Pour l'impot à la source bien sûr qu'il faut le faire mais aussi avec de 'la souplesse. Pour ceux où ça bloquerait pour un prélèvement dans l'entreprise on passe par la banque, pour ceux qui n'en payent pas aussi. Mais en même temps pour AGIR et changer il faut réformer l'impôt mais cela impose de l'audace comme la suppression de l'impôt sur le revenu compensé par 1 ou 2 points de TVA en plus sauf produits de première nécéssité ou demander un impôt pour tous, même de 100 euros, puisqu'on les dépense dans des abonnements téléphoniques.
Pour l'école bien sûr que c'est bien mais insuffisant car il n'y qu'une petite place pour l'innovation pédagogique ou pour l'apprentissage au vivre ensemble qui questionne l'inquestionnable et refuse toute violence dans des cours de récré comme en classe comme dans la rue ou comme à la maison. Avec l'aide d'un million d'éducateurs facilitants au tarif animateurs les écoles deviendraient des lieux d'apprentissage à la citoyenneté .
Pour la réforme des institutions bien sûr qu'il faut réduire et surtout obliger les élus à rendre des comptes annuellement mais aussi avec une présence terrain de 50% pour répondre aux questions consignées dans le cahier de doléances des citoyens avec une obligation de réponse dans l'année.
Pour les retraites bien sûr encore qu'il faut équilibrer dépenses et recettes avec un système par point mais aussi avec plus de solidarité entre une pension de la Nation limitée à trois niveaux (éxécution 1200 euros maitrise2400 euros et cadre 3600 euros) puisqu'il s'agit d'une prise en charge publique et une retraite différenciées selon son revenu souhaité à la retraite par une capitalisation personnalisée endant l'activité assurerait le complément.
Pour la santé bien sûr encore qu'il faut réformer une gestion économique avec des petits poles d'urgences délocalisés, avec plus de soins à domicile, une vielle de nuit organisée par la famille... mais aussi en incluant une réforme de la gestion humaine par un management qui délègue le pouvoir technique des médecins aux cadres infirmiers et développe une meilleure considération de tous les personnels soignants. idem pour la fonction publique d'état ou territoriale.
Pour l'environnement et l'humanitaire (en France et hors de France) la création d'un million d'emplois sans charge dédiés à ces actions permettraient la transformation éneregétique et l'atténuation des effets climatiques néfastes en France et ailleurs.
Pour la police et la justice encore il faudrait une refonte des lois et procédures pour replacer l'autorité et les devoirs du citoyen au coeur de nos pratiques publiques.
Et bien sûr l'implication de tous les citoyens dans ces changements et dans leurs évaluations s'imposent.
Mais tous ces changements ne sont pas à placer au même niveau d'urgence et d'importance. La politique y gagnerait à donner les orientations que des équipes techniques et citoyennes adapteraient pour l'action. Nous sortirions de la communication qui crée de la méfiance pour plus de réalité et de sincérité qui créent de la confiance. Et ça changerait tout.
Un grand référendum à choix multiple et en plus par internet scellerait ces engagements. La création des agoras citoyennes dans toutes les communes dotées de moyens d'actions comme l'inscription à l'ordre du jour du conseil municipal d'une question ou d'un sujet en assureraient la durée.