Passons encore aux actes pour l'international

28/09/2015 18:30

Si nous avions une analyse systèmique des choses nous ne serions pas encore à côté de la plaque.

La Syrie est en guerre civile et nous refuserions d'agir aux côtés de son dictateur qui l'aurait provoquée!!!

C'est un peu court.

  1. Si tyran il est, il a aussi des citoyens qui votent pour lui et qui le soutiennent, comme pour les autres mouvements minoritaires. Il a aussi le soutien d'autres puissances non négligeables (Russie et Iran). 
  2. Comparer la menace de la dictature d'Al Assad (qui n'est pas la seule dans le monde) mais qui reste dans ses frontières (après ses sorties passées au Liban) et celle d'un état islamique fasciste qui veut étendre sa barbarie au monde entier sur différents pôles, Afghanistan, Pakistan, Lybie, sud Algérie, Tunisie, Egypte, Mali, Soudan, Nigéria ... en plus de ses actes terroristes dans la monde entier n'est pas sérieux.
  3. Agir sans Al Assad, c'est se priver d'une aide terrestre utile. Oui, c'est une force utile à la solution militaire en Syrie.
  4.  Rechercher un accord mondial de l'ONU c'est aussi rejoindre des avis différents mais communs sur la base de l'analyse plus qu'un effroi feint de mauvais agissements d'un horrible dictateur. Dans la guerre il n'y a pas de bons et de mauvais assassins il y a des valeurs que l'on défend ou pas, ici la fin de la barbarie des fascistes verts dans les branches (salafistes, wahabites, alaouites, sunnites ou schiites) avant la recherche de liberté pour tous les peuples qu'ils doivent eux-mêmes construire sur place.
  5. Qu'elle réponse pérenne pourrions-nous apporter après la guerre gagnée sur les fascistes islamiques? Que veulent, ou pas, faire ensemble les citoyens d'un pays pour que toutes les parties trouvent leur place? Une évolution démocratique, une partition ou une guerre pour une partition? Car là est bien la cause et la solution du problème (cf mes art des 4/9/2015 et 17/2/2015) chacun doit vivre séparémment dès lors ou il ne veut plus vivre avec un voisin différent qu'il s'autorise même à tuer. Il doit s'élever vers l'HUMANISME pacifique pour parvenir à lui laisser une place dans son gouvernement et partager avec lui, son pouvoir. Quand les dirigeants refusent d'entendre l'opposition et veulent la réprimer c'est l'assurance de la pousser vers le désespoir, la guerre et la partition du pays. Elle justifiera sa barbarie criminelle guerrière derrière un islam intégriste qui n'est qu'une "noire croyance". 
  6. La solution pérenne passe donc par un gouvernement de transition sur des régions pour garantir la paix sous l'égide de l'ONU puis si la paix ensemble n'est plus possible, une partition en Irak, en Syrie, en Ukraine, en Afghanistan, au yémen, en Somalie.... Car la racine de ces maux est la VIOLENCE des ânes contre la PAIX du dialogue des sages qui ne doivent pas se priver de leur capacité à AGIR pour protéger les populations civiles.
  7. Il faut aussi offrir une réponse au problème du terrorisme sur notre sol qui relève du T.P.I (cf mon art du 10/1/2015) et éradiquer la radicalisation islamique par le traitement de la question d'un Islam de France inspiré des belles heures des soufistes. Il appartient au musulmans de France de le construire, respectueux de la laïcité, des lois républicaines, de la place de la femme et de la PAIX avec les autres qui sont différents mais qui permettent leur propre différence si elle est pacifique.

Arrêtons de ne voir que la première marche d'un processus sans voir aussi la sortie de crise et le traitement des causes. 

En résumé A GI SSONS..:         on chasse les fascistes islamiques qui veulent étendre la haine et la guerre partout dans le monde.

                                                   on place sous tutelle de l'O.N.U les pays dans le chaos.

                                                   on impose le dialogue à toutes les parties pour établir la paix ensemble.

                                                   Si on constate le désaccord on prépare la partition.

                                                   on impose le désarmement de ces états jusqu'à une paix durable retrouvée.

                                                   on éradique les pratiques et les acteurs de radicalités islamiques, par le TPI et la prison réélle à vie pour les criminels et pour tous les délinquants de violences sur des personnes par la rééducation sociale en prison.