Economie quand tu nous tiens !!!

21/08/2022 09:25

Oui l'économie nous tient dans un rapport Gagnant-Perdant incarnation des vieux jeux de pouvoirs mais ...... que nous cautionnons quand ça arrange nos petits intérêts jusqu'à ne plus aller voter !

Le capitalisme sauvage doit être remplacé par le capitalisme DURABLE.

Plus social, plus environnemental, plus redistributif et plus éthique.

Car si l'économie n'est pas au service des hommes à qui et à quoi peut-elle bien servir?

Nous devons inventer une nouvelle façon de penser. Une pensée éclairée d'un constat simple: aucune relation n'est durable hors d'un rapport équilibré.

Une économie avec de plus en plus de riches et de plus en plus de pauvres n'est pas acceptable.

Une économie qui assèche les fonctions régaliennes pour favoriser une redistribution des finances publiques au privé est un vol du bien commun.

Oui, nous devons changer notre modèle économique mondial par une économie régulée (redistributive, équilibrée et durable) créatrice de richesses qualitatives et moins quantitatives.

Ainsi, la modélisation des sytèmes et des pratiques mondiales se fera POUR "ce qui est bien pour nous, mais aussi "bien pour les autres" et enfin "bien pour la planète".

Concrêtement il faut changer de paradigme pour sortir du productivisme qui épuise les ressources naturelles et les hommes pour plus de qualité des produits, des services et de notre qualité de vie.

Il faut arrêter de dégrader les fonctions régaliennes pour justifier le transfert de fonds publics vers les entreprises privées (hopitaux, écoles, police etc... "Quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la rage".

il faut faire des économies sur le fonctionnel pour plus de dépenses dans l'investissement ou l'opérationnel .

Il faut ouvrir une grande chasse aux gaspillages et privilèges exhorbitants.

Il faut moins de taxes contre l'emploi mais plus de taxes pour les robots et spéculations financières qui sont des cancers contre le bien être du plus grand nombre comme l'ont été les délocalisations, la surconsommation... ils agissent par opportunisme . Les systèmes sont opportunistes comme les hommes et comme le serait un salarié qui aurait l'opportunité de définir sa rémunération? Il s'augmenterait aussi dans un cycle dévoyé sans fin. Serait-il pour autant légitime? Non, car l'augmentation d'un profit doit être obligatoirement associée à une amélioration notable de la qualité du service rendu ou et de la quantité régulée de service rendu ou à l'inventivité d'un process qui réduit les gaspillages ou améliore la performance bref, à une amélioration notable de la qualité du service.

Regardons comment l'inflation prépare la déflation quand une dynamique des prix haussières du coût des matières premières est aussi haussière par simple spéculation et opportunisme. Elle empêche la consommation et la relance et bloquent la croissance nécessaire à notre bein être. Les prix ne doivent pas augmenter sans que les salaires n'augmentent aussi. Et la spirale infernale est enclenchée.

Il ne faut pas laisser les systèmes sans régulation politique, quelqu'ils soient, s'ils sont laissés sans contrôle sans régulateur ils agiront par opportunisme et tomberont un jour ou l'autre dans l'excès. Et en tout l'excès nuit !!!

 

Il faut cesser nos mauvaises pratiques comme celle de penser que la richesse d'un petit nombre pourrait être redistribuée volontairement et surtout pourrait régler DURABLEMENT les situations catastrophiques de pauvreté dans le monde, d'injustices comme l'esclavage des temps modernes pour construire une coupe du monde de foot. Croire encore dans une croissance infinie dans un monde fini est suicidaire. Croire encore qu'il y a des "sous-hommes" à exploiter au moindre prix est injuste et contraire aux valeurs universelles de Liberté, Egalité et Fraternité.  Ce n'est vrai que dans un temps court qui ne tient pas dans la durée car la redistribution d'une richesse ne vaut que s'il y a une création DURABLE de cette richesse donc une production durable en qualité d'abord, en quantité régulée ensuite et enfin en innovation. Cela est bien loin d'être le cas pour tous les pays. Regardons les pays à l'équilibre ou en excédent de balance commerciale extérieure, même la France n'y est pas bénéficiaire.

Il faut cesser nos mauvaises pratiques ou nous n'y serions pour rien ou que nous ne pourrions rien faire parce que le  marché obéirait à une main invisible pour le réguler! Il ne fait que s'accroître sans fin. Tout cela est faux

Regardons aussi les gaspillages inutiles qui plombent gravement nos équilibres économiques. Mais qui est prêt à faire des économies en réduisant sa façon de vivre? Qui adopte une conduite économique pour gagner 1/2 litre au cent? Tout le monde accélère en montée et au démarrage mais tout le monde se plaint du prix du litre qui augmente toujours plus vite qu'il ne baisse?

Il est grand temps d'arrêter de ne donner la primauté de notre bien vivre sur terre à la seule économie. réinventons la gestion des affaires publiques par son évaluation qualitative. Oui, il faut sortir des pratiques de simple gestionnaires quantitatifs qui qualifient au grè des circonstances "un quoi qu'il en coûte" pour les uns et  "la rigueur budgétaire" pour les autres!!! C'est la différence entre un caissier et un financier ou un fonctionnaire et un entrepreneur qui ose investir et s'endetter mais pour produire mieux ensuite. Il faut arrêter les principes de précaution qui paralysent l'initiative et engraissent des systèmes inefficaces. Il faut arrêter avec les systèmes liberticide et accepter un risque responsable.

Il faut changer de paradigme: moins de consommation pour plus de bien être en tout. Nourriture, energie, médicaments, dépenses de fonctionnement etc.... soyons économes et réduisons notre impact sur la planète et nous vivrons tous un peu mieux. (d'ailleurs cela aurait évité les pollutions planétaire si néfastes). 

Pour cela il faut changer d'époque et innover dans un nouveau paradigme global économique, démocratique, démographique, écologique, civique et éducatif pour refaire société sur un très bel avenir politique. Un avenir capable de contenir les guerres des plus bélliqueux pas en se dapuillant de nos propres forces mais en gardant toujours une capacité de réaction proportionnée à l'agression. Il faut favoriser l'intelligence collective pour unir nos forces et défendre l'intérêt général. Pas dans une faiblesse lâche et coupable mais dans une force colective inébranlable.

Il faut Faire ce qui est bien pour nous, bien pour les autres et bien pour le monde.

Arrêtons d'opposer et de nous opposer. les uns aux autres pour ne rien faire. Construisons ensemble une création des richesses pour mieux les redistribuer car quand les gros seront maigres les maigres seront morts". Mais quand les maigres seront morts il n'y aura plus de gros. Arrêtons de vouloir toujours plus. Essayons de vivre toujours mieux.

Voilà ce à quoi il nous faut d'abord penser avant de nous engager dans des oppositions et minorités incapables de travailler ensemble pour le bien être général où pour favoriser une plus grande redistribution, recherchons ensemble une amélioration qualitative du travail, une équité devant l'impôt, un maintien des grands équilibres économiques plutôt qu'un transfert maximum des budget publics vers des intérêts privés comme EDF qui garderait à sa charge les dépenses du futur et du passé et le privé les bénéfices à faire sur les consommateurs on voit où cela à mener cette entreprise 20 ans plus tard.

La force d'une chaîne tient TOUJOURS de son plus faible maillon. Oui, il faut aider les plus pauvres, les plus faibles, les plus en difficulté mais pas dans un assistanat stéril où celui qui travaille n'en aurait pas un meilleur profit. Développons des dynamique reconnaissantes, des dynamiques d'amélioration qualitatives pour apprendre à être meilleurs ensemble à fournir un travail en contrepartie d'une aide avec 1 million d'enplois dans l'humanitaire en France et à l'étranger et 1 millions d'emplois dans le socio éducatif DANS l'école pour des écoles ouvertes.

Allons vers le toujours mieux et ce n'est pas du tout pareil. Il suffit d'une volonté claire et collective pour déplacer les montagnes. Nous devons toujours rechercher la légitimité éclairée du peuple souverain de nouveau éduqué dans une société productrice de richesses qualitatives. Ce changement de paradigme ouvre la voie d'un avenir ou les mauvaises relations de pouvoir sont remplacer par des relations coopératives, de partage équilibré, de respect et d'exemplarité bref, une société ou le Bonheur Intérieur Brut remplacera le seul P.I.B dans l'appréciation des sociétés.

La bonne méthode s'exprime dans une volonté collective clairement exprimée et légitime aux deux tiers de toujours évaluer et contrôler tous les systèmes, services et gouvernements, dans tous les domaines de la société et dans toutes les entreprises privées ou publiques.

Les bons outils comme l'observatoire social et l'évaluation qualitative seront à établir partout. Ils permettront les économies de gaspillage pour servir la qualité de vie.

Les bonnes pratiques sont celles qui ne cherchent plus un pouvoir sur l'autre mais se mettent au service d'une cause générale partagée pour favoriser les coopérations.

 

Et tout cela doit être accompagné par une révolution démocratique entre le participatif et le représentatif avec le référendum à choix multiples et à deux tours pour que les votants puissent changer d'avis et faire passer une idée dont ils sont tout de même plus proche que son contraire. Avec les ambassadeurs citoyens qui représentent le peuple avec un cahier de doléances dans chaque circonscription pour une réponse dans les 6 mois maximum à toutes questions posées par un citoyen. Idem pour les conseils municipaux qui devront intégrer deux questions citoyennes aux débats des conseils municipaux  et enfin par les agoras citoyennes communales trimestrielles.

Ce renouveau révolutionnera la sociéte qui retrouvera un sens collectif, une légitimtié perdue et une participation active des citoyens pour un peuple plus éclairé où son action s'insère dans la boucle vertueuse de l'évaluation et du contrôle qui permet l'adaptation continue aux évolutions de ce monde qui bouge de plus en plus vite et de plus en plus fort.