AGIR pour réussir...

09/11/2015 18:22

Voilà les priorités urgentes et importantes que mènerait la société civile si elle était au pouvoir !!!

-Restaurer l'autorité de l'état

-Chasser les gaspis

-Rétablir la responsabilité dans la liberté individuelle.

              Pour donner un sens commun  -    pour redonner des emplois                              et pour sortir de l'assistanat;


1° Il faur restaurer l'autorité de l'état pour redéfinir un sens commun partagé par toute la société

il faut sortir de la lâcheté de celui qui préfère ne pas faire de vagues, fait semblant de ne rien voir, transforme les coupables en victimes, ne reconnait pas ses faiblesses et erreurs, ne définit pas les bonnes ou mauvaises pratiques, ne les réprime pas sévèrement et prépare ainsi une réaction de plus en plus violente des citoyens exaspérés. L'action gouvernementale ne peut se satisfaire de la communication et du verbiage qui n'ont aucune chance de résoudre un tel désastre.  Les égarements seront encore plus difficile à gérer demain quand le dernier rempart de la vie en démocratie, la justice, ne sera plus respecté. ll faudra alors restaurer plus fortement l'autorité dans toute la chaîne éducative. Ce ne sont plus "des sauvageons de Chevenement" ce sont des terroristes de la terreur ou des irresponsables incompétents qu'un gouvernant trop faible favorise et légitime bien trop facilement....

Qui peut encore refuser de voir aujourd'hui que l'autorité de l'état est de plus en plus contestée? Cette contestation ouvertement partagée par une partie de la population est renforcée par le manque d'exemplarité et d'éthique de nos élus, par l'inaction volontaire des autorités politiques et celui qu'elle impose aux forces de l'ordre. Ce fût le cas dans l'occupation illégale par les gens du voyage d'une autoroute, c'est encore le cas pour l'occupation illégale de terrains communaux et les branchements d'eau, d'électricité et d'eaux usées sans abonnements, ou pour les violences urbaines journalières avec des incivilités, des voitures qui brûlent, des policiers agréssés, ou pour des frontières dans des pays exposés qui ne sont pas aidés pour les défendre, ou des financements étrangers sont acceptés pour payer des immams et des mosquées, ou les signes religieux ostentatoires dans les lieux publics sont légion, ou des contestations de soignants docteurs masculins s'expriment, ou des atteintes à la liberté de la presse pour les carricatures et autres mainfestations sont si peu protégées, ou des élus se comportent injustement sans sanctions etc... L'inaction engage une responsabilité malveillante (je sais qu'il ne faut pas le faire mais je laisse faire et favorise le trouble). Ne pas voir que les derniers remparts au chaos, après la famille et l'autorité des enseignants, c'est la police et la justice qui s'effondrent est coupable.Refuser d'exercer l''autorité (qui fait autorité par des compétences et des pratiques réussies) c'est se tirer une balle dans le pied. L'autorité et son éducation par l'exemple fondent la discipline et l'auto discipline. 

L'autorité s'impose par l'exemplarité et éduque par l'acte en donnant les repères des règles de bien vivre avec les autres c'est la discipline. La police les fait respecter sans faillir par sa force d'interpellation et la justice par sa force punitive réellement exécutée. Sinon .... la société toute entière disparaîtra. Ce sera la fin de notre société et la guerre civile communautaire comme en ex Yougaslavie s'installera. Nier cela n'est pas sérieux.

Restaurer l'autorité c'est l'affirmer dans des actes concrêts et permanents. La faiblesse de l'inaction est coupable. Elle entraîne la confusion et favorise les égarements violents (insultes, coups puis coups de feu ) de capricieux mal ou pas éduqués qui n'aiment pas et refusent l'interdit et l'autorité. Tout laisser faire c'est laisser dos à dos victimes et coupables. C'est laisser l'Etat et la société civile dans la confusion, comme incapables de définir ce qui est bien et sanctionner sans faille ce qui est mal. C'est pourtant ainsi que se crée l'INTERCULTURALISME qui fonde la société et l'ETAT de droits. Il permet à l'état de justifier son AUTORITE par les ACTIONS de corrections comme le font les parents, les enseignants et encore plus fortement la police et la justice. Ces contraintes librement acceptées évitent le chaos des sauvages qui refusent les lois et les valeurs d'un Etat de droits.

Oui, les valeurs de la puissance publique doivent être continuement affirmées, par des actions d'éducation plus ou moins coercitives au plus près possible de l'évènement. Par des actions d'interventions pour faire cesser les troubles elles doivent être proportionnées et fortes. Le discours et la communication ne peuvent rivaliser avec la force de la transgression des déviants d'aujourd'hui. Refuser la violence aveugle IMPOSE de donner tous les moyens, y compris des pouvoirs d'autorité aux enseignants, y compris d'interpellations musclées aux forces de l'ordre et impose l'augmentation de l'échelle des sanctions à la justice. Ces derniers remparts sont  indispensables pour réprimander et corriger sans failles les déviants qui s'égarent.  Ce n'est pas un problème religieux, raciste, ségrégationniste ou je ne sais quoi c'est La base de notre bien vivre ensemble, tolérante, respectueuse de l'Autre MAIS disciplinée et autodisciplinée légalement choisie. Refuser le grand n'importe quoi c'est permettre à l'homme de s'élever vers le dialogue et l'aider à transformer sa bestialité en humanisme. C'est l'éducation, qui fait de l'homme cet être merveilleux capable d'écoute, de tolèrance et de grandeur pour tendre la main à son ennemi et signer la paix.  C'est par son refus de la bestialité que l'homme s'honore et lui permet de prendre toute sa place dans la société. Il le fait librement dans le respect des lois. Ces lois respectueuses du socle commun qui permettent de construire un avenir en commun. Cet avenir où il sait que les lois de sa démocratie protègent justement le plus faible. Cette liberté, d'accepter librement les contraintes, fait un homme respectueux des autres et de leurs différences. toute sa vie il luttera contre ses démons et ses égoïsmes en s'adaptant aux actes éducatifs continus qui ne renoncent pas à la sanction comme à la satisfaction pour justement le guider sur le chemin de la droiture. L'acte éducatif ne peut pas être celui d'une faiblesse lâche. Il est fort et cohérent et soutenu par l'autorité qui impose son refus de la violence.L'acte éducatif s'adapte aux evolutions et aux actions pour améliorer sa réaction, il refuse l'immobilisme et s'impose par l'exemplarité. Il nomme les interdits et les fait respecter y compris avec  force et sanction contre celui qui se laisse aller à la "bestialité".  Il agit!!!

comme le dit si bien B.Charbonneau dans "JE SUIS" son essai sur la liberté

"L'homme est sur son terrain de vérité: l'agir."

Oui, il est urgent de restaurer l'autorité par l'action.

La société civile proposera des réformes inportantes pour établir une démocratie exemplaire pour une politique familiale respectueuse, pour une éducation respectée, pour une police soutenue et renforcée et pour une justice sans faiblesse. Elle favorisera une société Française adaptée aux enjeux du 21 iéme siècle.